Isolement, masculinité toxique et Hitchcock
« Die tote Stadt » selon Mariusz Treliński
Mariusz Treliński avait terminé sa mise en scène de Die tote Stadt. Mais 2020, la pandémie du coronavirus et de stricts protocoles de sécurité, l'ont obligé à drastiquement tout repenser. Le résultat, et le premier opéra présenté sur la scène de la Monnaie depuis des mois, est un spectacle subtil et poignant sur le deuil, une vision schizophrénique de la femme et… l'isolement. « Nous ressentons la même tension, la même claustrophobie que Paul, le protagoniste. »